Internet n'a pas fini de révolutionner le monde dans lequel on vit. On peut y être rétif, on voudrait bien rester dans le monde des années 50, hélas (ou heureusement) tout bouge et on peut bien sûr rester sur le bord de la route. On peut aussi choisir de participer à la course du monde.
Il en va ainsi de l'emploi.
Plusieurs médias se sont déjà fait l'écho du succès des annonces EMPLOI sur "Le Bon Coin". Ces annonces seraient d'une très grande efficacité et la réalisation serait de l'ordre de quelques jours. Est-ce si surprenant ? Rien ne vaut en effet le contact direct entre chercheurs et offreurs, sous condition du sérieux de la demande et de l'offre. Vous ne risquez rien d'essayer ...
Vous pouvez consulter ces annonces ici :
Demandes : http://www.leboncoin.fr/emploi/demandes/bretagne/finistere/
Offres : http://www.leboncoin.fr/emploi/offres/bretagne/finistere/
Bien entendu, si vous n'êtes pas pressé, ou si c'est pour le chômage, vous pouvez continuer à vous adresser à Pôle Emploi : http://alloemploi.fr/finistere-29/
L'objet de ce blog est d'informer tout particulièrement dans le domaine du développement durable, de la pérennité des ressources naturelles, des énergies renouvelables, de la qualité de l'air que nous respirons et de l'eau que nous buvons, bref de tout ce qui concerne notre qualité de vie et notre environnement. Nous nous attacherons à publier l'information concernant principalement le Cap-Sizun, mais nous déborderons de cette frontière quand nous estimerons que le débat le mérite.
Le bruit des vagues
Le Cap-Sizun est réputé pour la puissance de ses éléments naturels, le vent, le bruit des vagues, le relief magnifiquement sauvage de la côte.
Eh bien, n'ayons pas peur du bruit des vagues, il nous appartient, prenons donc la parole pour le porter haut et fort, les fiers capistes n'ont pas à courber l'échine sous les vents qui passent ... et qui fuient.
Eh bien, n'ayons pas peur du bruit des vagues, il nous appartient, prenons donc la parole pour le porter haut et fort, les fiers capistes n'ont pas à courber l'échine sous les vents qui passent ... et qui fuient.